quand le mur mure. FIN
Enfin, la fin.
Le crépi, c'est pas du gâteau, surtout quand on passe deux palettes de 48 sacs chacune, que la surface à enduire fait 100 mètre carrés et qu'il faut faire deux applications. Je hais l'enduit, le lissage, les angoisses quand on pense qu'on ne va pas être dans les délais, quand la pluie arrive, quand le mur est trop sec, le produit trop mouillé, ou pas assez. quand la main qui tient la truelle ne tient plus rien, quand la taloche accroche ce que l'on venait de lisser et qu'il faut recommencer. Ahhhhhhhhhhhhhh, je hais l'enduit. Enfin, je haïssais, parce que j'ai fini aujourd'hui et que je suis sacrément content. Alors, comme vous pourrez le voir dans l'album intitulé "le crépi net" , j'ai signé mon œuvre JF2008 pour Jacky FILS 2008. Voilà. Il faut assumer.
Comme vous l'avez sans doute remarqué, le "parking" a été recouvert d'un goudron et les voitures se sentent comme à la ville désormais.
Ah, une dernière chose, il faudra penser d'ajouter 96 X 25 = 2400 kg de crépi, manipulés deux fois, puis étendus une fois, soit 3 X 2400 = 7200 kilogrammes à la quantité totale de matériaux portés par mes splendides bras d'athlète accompli(voir l'article "le poids d'un mur dans les bras d'un homme). Aïe, je viens de taper ma chevile contre le pied de la chaise. Ça fait très mal.
Bon, cette fois je vous laisse vraiment.
Jacky.